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Véhicule routier sans moteur, comprenant un espace pour le chargement de marchandises qu'il soutient avec le véhicule motorisé qui le tire.
Activité consistant à rechercher de nouveaux fournisseur afin d'améliorer la performance en matière d'achat (prix moins élevés) et/ou d'approviosionnement. Expression particulièrement utilisée dans le cas de la recherche de fournisseurs dans des pays à bas coûts ("Faire du sourcing en Chine" par exemple).
Conditionnement multiple d'UV et sous multiple de PCB.
Politique d'entreprise consistant pour une organisation (le donneur d'ordre), à confier à un tiers (le sous-traitant, par exemple un prestataire de services logistiques*) la réalisation de certaines activités (le transport, le co-packing*...).
Démarche de gestion des éléments et activités (infrastructures, outillage, pièces détachées, documentation, , formation…) à mobiliser de la conception à la fin de vie d’un équipement.
Symbole code à barres identifiant l’unité de transport (par exemple le conteneur). Le SSCS est le code qui permet le suivi de la marchandise.
Méthode de calcul du temps de réalisation d’une opération logistique par un opérateur ou un engin de manutention. Cette méthode implique une décomposition des activités de manutention en tâches élémentaires (gestes et déplacements réalisés par un opérateur avec ou sans matériel de manutention) auxquelles correspondent des standards de temps ou temps moyens d’exécution (TOM) préétablis par l’IFTIM. La somme de ces temps correspond au temps opératoire de base (TOB) à partir duquel est calculé le temps opératoire réel (TOR) qui prend en compte les difficultés ou ralentissements inhérents aux temps de parcours (indice de parcours ou de roulage), puis le temps d’exécution (TE) qui prend en considération la fatigue liée à la répétitivité des tâches réalisées (coefficient de fatigue). Un taux d’engagement des opérateurs permet alors de calculer le temps alloué (TA) à la réalisation d’un ensemble de tâches (TE / Taux d’engagement). Ces différents temps sont mesurés en utilisant la chronoanalyse*.
Ensemble des matières premières, marchandises, fournitures, produits semi-ouvrés, produits finis, produits en cours, emballages, etc., qui appartiennent à une entreprise à une date donnée.
Quantité de produits entrés à chaque livraison et intégralement consommés pendant la période.
Seuil (quantité) qui, lorsqu'il est atteint, doit entraîner la passation d'une commande.
Zone d’un entrepôt dans laquelle les marchandises sont stockées, après leur réception, avant d’être progressivement transférées, en fonction de la demande, vers le stock picking*.
Quantité destinée à pallier une accélération de la consommation et/ou un retard dans l'approvisionnement/production. Le stock de sécurité est un stock "dormant".
Stock physique duquel sont retranchés lrs blocages, commandes, etc.
Cf Article de point de stock.
Zone d’un entrepôt dans laquelle les marchandises sont stockées en vue du picking*.
Palettier ou mobilier de stockage dont les étagères, légèrement inclinées, sont munies de rouleaux ou coussins d’air permettant aux cartons et/ou palettes d’avancer vers le préparateur. Ce système de stockage est utilisé de préférence pour les produits à forte rotation.
Mode de stockage de produits dans des réservoirs clos généralement métalliques ou en béton. Par analogie, le stockage en silo peut désigner des infrastructures d’entreposage de très grande hauteur équipées de transstockeurs*.
Application informatique, développée par le cabinet américain AMR Research destinée à piloter, alerter, simuler, contrôler et mesurer la réalisation des activités composant la chaîne logistique*, en coordonnant, via l’intégration des données, les applications déjà existantes de SCE* et de SCP*.
Application informatique permettant l'intégration de l'ensemble des données relatives à la gestion opérationnelle des activités composant la chaîne logistique*. Les progiciels de SCE se composent généralement de trois principales applications informatiques de gestion interfacées : les TMS* (Transport Management System), les WMS* (Warehousing Management System) et les AOM* (Advanced Order Management).
Démarche partagée de gestion de l’ensemble des processus impliquant les différents acteurs de la chaîne logistique, traditionnellement du fournisseur du fournisseur au client du client. Cette approche, pour l’instant théorique, se veut fédératrice des différentes démarches de collaboration inter-entreprises : management logistique, CPFR*, trade-marketing*, gestion partagée des approvisionnements*…Les progiciels de SCM, terme initialement développé par les éditeurs de progiciels d’optimisation de la chaîne logistique*, utilisent deux types d’applications informatiques : les SCE* et les SCP*. Les données de ces deux applications peuvent désormais être intégrées au sein d’un nouveau type de logiciel appelé SCEM*.
Application informatique permettant de simuler et de planifier l’ensemble des processus de la chaîne logistique*.
Système d’information de préparation, de suivi et d’exécution des activités en entrepôt de nature transactionnelle.
Logiciel qui permet de gérer de façon optimale la totalité des flux d'informations et physiques et des interfaces entre les différents acteurs, producteurs et fournisseurs qu'impliquent la fabrication d'un produit ou l'offre d'un service, à partir des renseignements concernant la demande jusqu'aux données nécessaires à la distribution, en passant par la conception et la production. Souvent, le système de gestion de la chaîne logistique se greffe au progiciel de gestion intégrée d'une entreprise et aux logiciels GPAO (gestion de la production assistée par ordinateur) qu'elle utilise.
Ensemble des transactions et données du système d’information qui supporte la supervision d’activités en entrepôt (sur la réalisation des opérations, la qualité de l’affectation et de l’utilisation des ressources, les consommations budgétaires). C’est un système à caractère décisionnel.
Ensemble d’outils d’identification automatique (notamment les systèmes codes à barre) facilitateurs des échanges producteurs-distributeurs, diffusés dans différents pays par le biais d’associations domestiques (en France : GENCOD-EAN).
Systèmes de planification de l’ensemble des flux de l’entreprise (matières, informations et financiers) qui synchronisent et optimisent les activités et leurs interfaces, de façon globale et collaborative, en fonction d’objectifs de taux de service client et de marges sur les activités.
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